Après avoir gagné une renommée internationale auprès du public et des musiciens, notamment en Europe et en Asie, celle qu’on considère comme la vocaliste jazz majeure de Scandinavie est en passe de conquérir les Etats-Unis.
Sinne Eeg sera en tournée avec plusieurs formations :
- Duo contrebasse/voix avec Thomas Fonnesbaek
- Duo piano/voix avec Jacob Christoffersen
- Quartet - Big band, avec le Danish Big band ou un big band local
Nouvel album "Staying in touch"
Sinne Eeg & Thomas Fonnesbæk, sortie le 24 septembre 2021
Peu d'enregistrements dans l'histoire du jazz font appel à une instrumentation voix / contrebasse. Lorsque Sinne Eeg et Thomas Fonnesbæk sortent leur premier album en 2015: EEG-FONNESBÆK, ils obtiennent le Danish Music Award du meilleur album de jazz vocal.
Dans la filiation directe de cet album voici STAYING IN TOUCH. La limitation structurelle établie par ce format est un défi qui permet au duo une liberté musicale particulière. S'ils possèdent tous deux suffisamment de présence pour faire honneur aux morceaux, l'ajout d'un quatuor à cordes sur trois morceaux vient contraster agréablement l'expérience.
Leur entente fusionnelle les affranchit du recours à un batteur pour jouer le rôle de métronome ou d'un pianiste pour expliquer les harmonies, et le manque ne se fait sentir à aucun moment.
Sinne Eeg (voix), Thomas Fonnesbæk (contrebasse), Cordes: Andrea Gyarfas Brahe, Karen Johanne Pedersen (violon), Deanna Said (alto), Live Johansson (violoncelle), Jesper Riis (arrangements pour cordes)
Album " We’ve Just Begun! " avec le Danish Radio Big Band, février 2020.
Ce nouvel album compte parmi les productions les plus ambitieuses réalisées par la chanteuse danoise Sinne Eeg pour le label Stunt. Accompagnée par les superbes 19 musiciens du Danish Radio Big Band, elle brille sur les arrangements des maîtres du genre Peter Jensen, Jesper Riis, et de l'américain Roger Neumann, qui naviguent magnifiquement entre les sons des big bands classiques et modernes.
Une sélection de chansons pour la moitié de compositions originales et pour autre moitié de standards (My Favourite Things, Comes Love, Detour Ahead), auxquelles s'ajoutent deux chansons danoises (interprétées en anglais).
"La chanteuse de jazz danoise, star confirmée en Europe, remplit toutes les conditions : tonalité cuivrée, intonation parfaite, swing, goût infaillible et prise de risque.
C’est une musicienne accomplie qui a également un talent pour chanter avec un grand naturel…
Elle s’est entourée d’une équipe de rêve." Downbeat
Album Dreams le 26 janvier 2018
Pour son nouvel album, DREAMS, la vocaliste danoise Sinne EEG est une fois de plus accompagnée par son collaborateur de longue date, le pianiste Jacob CHRISTOFFERSEN et quelques grands noms de la scène jazz Outre-Atlantique actuelle : le batteur Joey BARON, le contrebassiste Scott COLLEY et le guitariste Larry KOONSE.
Soutenue par ce line-up de haut vol, cette musicienne de jazz dans l’âme et parolière accomplie a souhaité orienter son écriture dans une nouvelle direction. Au total, Sinne Eeg est à l’origine de six des dix morceaux de l’album, qui comprend également quatre reprises.
Son écriture englobe une variété de styles, qui vont de la ballade romantique (Love Song) à des titres plus funky (The Bitter End). On lui remarque aussi une certaine affinité pour les valses avec Head Over Heels, dont elle signe la musique, mais confie le texte au vocaliste et multi-instrumentiste, Mads Mathias.
L’onctueuse ballade instrumentale éponyme (Dreams) introduit la chanteuse telle une voix à part entière parmi les autres instruments.
Touchée par la souffrance des enfants d’Alep, centre névralgique du conflit syrien, la chanteuse a écrit la chanson Aleppo, sans aucun doute, l’une de ses plus grandes réussites en tant qu’auteure.
On retrouve également sur cet album Time To Go, chanson enregistrée en duo piano-voix sur l’album précédent, à laquelle la danoise a voulu apporter une nouvelle dimension.
Dreams, sortie le 26 janvier 2018
Stunt Records / Distribution Una Volta Music
SINNE EEG : voix
JOEY BARON : batterie
JACOB CHRISTOFFERSEN : piano
LARRY KOONSE : guitare
SCOTT COLEY : contrebasse
Les titres : The Bitter End / Head Over High Heels / Love Song / What is This Thing Called Love / Falling in Love With Love / Dreams / Aleppo / Time to Go / I’ll Remember April / Anything Goes.
Album " Eeg & Fonnesbaek " le 22 juin 2015 CHOC Jazz Magazine/Jazzman juillet 2015
Duo voix/contrebasse avec Thomas Fonnesbaek
La talentueuse chanteuse scandinave interprète un programme, essentiellement composé de standards, en duo avec le basiste Thomas Fonnesbaek . Un exercice périlleux qui met en valeur la liberté d’interprétation, la virtuosité et la connivence des deux artistes.
Album " Face the Music "
Son précédent album " Face the Music ", sorti en septembre 2014 a remporté de nombreux prix : - Prix du jazz vocal 2014 de l’Académie du Jazz
- CHOC Jazz Magazine/Jazzman octobre 2014
- Meilleur disque de jazz vocal aux Danish Music Awards 2014
- Ben Webster Award 2014
Biographie
Sinne Eeg est l’un des grands talents de la nouvelle scène jazz scandinave et certainement la plus renommée des chanteuses de jazz au Danemark.
Avec déjà 10 albums à son actif, dont 3 en collaboration, elle s’est imposée dans son pays et progressivement sur la scène internationale grâce à une série de concerts en Europe, aux Etats-Unis, au Japon et en Asie du Sud-Est.
Son style vocal lui a permis de conquérir un public toujours plus nombreux.
Influencée par Nancy Wilson, Betty Carter et Sarah Vaughan, Sinne a su insuffler dans sa musique les accents parfois subtilement mélancoliques propres à la sensibilité scandinave.
Au cours de sa carrière elle a, par trois fois, remporté le prix du Meilleur Disque de Jazz Vocal au Danish Music Award (2007, 2010 et 2015) ainsi que le prix Jazz de La Radio Danoise (2009).
Tout récemment, en 2014, elle est entrée dans l’histoire en devenant la première chanteuse à obtenir le prestigieux prix Ben Webster.
En 2014, Sinne sort son premier album chez Stunt, Face The Music, suivi en 2015 du duo Eeg / Fonnesbæk avec le contrebassiste Thomas Fonnesbæk.
Pour Face The Music, elle remporte le prix du disque de jazz vocal de l’Académie du Jazz.
" Sinne Eeg must be one of the best jazz vocalists alive today " The Guardian
" Le résultat approche de la perfection (...) dans un style plein de souplesse et de naturel où elle ne force jamais sa voix et utilise le scat avec mesure. Une superbe réussite. "
Philippe Vincent, Jazz Magazine / Choc Jazz Magazine
" Les morceaux s’enchaînent avec la classe que peuvent donner un orchestre et un chant lorsque ceux-ci sont de grande qualité. "
Gilles Gaujarengues - Citizen Jazz
" Que cette dernière aborde des compositions originales ou des standards choisis avec goût, elle s’approprie leurs univers respectifs avec les qualités qu’on lui connait, notamment un scat toujours parfaitement géré. "
Yves Dorison - Culture Jazz
" Sinne Eeg est une musicienne accomplie et la finesse de grain d'une voix qu'elle n'a jamais besoin de forcer constitue la cerise sur le gâteau. "
CHOC février 2018. Philippe Vincent - Jazz Magazine 2018
" Lustrous tones and alert improv from Danish star. 4/5 " J. Fordham - The Guardian 2018
" The Danish jazz singer, an established star in Europe, checks all the boxes; burnished tone, perfect intonation, swing, unerring taste and an adventurous streak. 4,5/5 " Downbeat 2018
" Ça pue le swing à plein nez, ça suinte le groove par tous les pores [...] un beau chant, baigné dans l’émotion la plus simple et porté pas des sidemen frisant la perfection accompagnatrice. " OUI Culture Jazz - Yves Dorison 2018
" C’est à l’exploration d’un temps que l’on dirait suspendu que nous convie dans son nouvel album “Dreams” (chez Stunt, le luxueux label scandinave), la vocaliste danoise Sinne Eeg, couronnée en 2014 du prix du jazz vocal de l’Académie du Jazz. " Jean-Luc Caradec - La Terrasse 2018
" Son chant mélodieux, son intonation parfaite et son sens du rythme font de cet album une réussite absolue. " (Nicole Videmann - Latins de Jazz & Cie 2018
" Aussi à l’aise dans les ballades que sur tempo rapide, la chanteuse danoise maîtrise parfaitement le scat et enthousiasme a cappella. " Pierre de Chocqueuse - Blog de Choc 2018
" Sinne Eeg qui vient de sortir son sixième album, Face the music est une musicienne accomplie dont le talent s’exprime avec le même bonheur dans les standards et les compositions originales. Son sens musical, sa technique et sa voix de mezzo soprano dont elle joue comme d’un instrument font de
Sinne Eeg une des meilleures chanteuses européennes. "
France Info Tendance Jazz Sept 2014
" Voilà un disque qui prouve que le répertoire "standard" du jazz peut être sans cesse renouvelé, remodelé par les musiciens talentueux et inspirés. Sinne Eeg est de ceux-là. Superbe voix, feeling jamais forcé, équilibre et sens du jeu. "
Culture Jazz Novembre 2014
" La chanteuse avait déjà enchanté le Sunset en 2011. En septembre 2014, elle installe une complicité instantanée avec un public ravi, envoie sa phénoménale composition "High Up in the sky", puis avec "Come Love", enjoint la salle d’atterrir sur un scat terrible. Ovation.
Pour s’ennuyer avec Sinne Eeg, il faut le faire exprès. "
Bruno Pfeiffer Jazz News - Décembre 2014
" Sinne Eeg, la grande sirène de Copenhague . Influencée par Nancy Wilson, Betty Carter et Sarah Vaughan, Sinne a su insuffler dans sa musique les accents subtilement mélancoliques propres à la sensibilité scandinave. "
Alex Dutilh France Musique Open Jazz Nov 2014
" La perle de Copenhague. En une dizaine d’année et six disques, Sinne Eeg s’est affirmée comme l’une des chanteuse de jazz européenne les plus accomplies. "
Philippe Vincent Jazz Magazine Octobre 2014
Anouar Brahem : oud
Klaus Gesing : bass clarinet, soprano saxophone
Björn Meyer : bass
Khaled Yassine : darbouka, bendir
For almost forty years and with a current discography spanning no less than 11 albums on the ECM label, Anouar Brahem has been constantly placing the age-old tradition of Arab music, whose emblem is his oud and its superb finesse, in different situations; not only does he set it in contrast against the free spirit and improvisation so typical of modern jazz, but also against the sophisticated harmonies of the erudite compositional tradition of the West and the refined forms of composition in other ancient cultural traditions from the Orient.
He has organized numerous cross-cultural encounters as well as juxtaposing different musical universes, thereby producing unsuspected potential in new but familiarsounding combinations, something which had never been done before. In 2009, he recorded "The Astounding Eyes of Rita", with a new group that included the soft melding of two sounds: the amazing fluidity of German-born Klaus Gesing on bass clarinet and the flowing notes on the bass guitar of Swedish-born Björn Meyer, to give a mixture of ascetic sophistication and sensuous lyricism so typical of oriental music, declined here by the music of the oud with its notes closely interwoven into the percussive background, played by Lebanese artist, Khaled Yassine. This group has had worldwide
success, both for its rich repertoire and the subtlety of the varied instrumentation, and now, ten years later, it is not only totally up-to-the-minute and more enduring and creative than ever, but Anouar Brahem had made a secret pact with himself never to look back and also vowed to renew his inspiration constantly by accompanying each new project with unusual orchestral combinations. So here, recognizing the lasting qualities of this group, he decided to add a new chapter to this story.
His main resource has been these years of shared experiences with the group, where their coherence and self-confidence has been increasing all the time. Anouar Brahem's new adventure puts his own terrain through the prism of this particular sound universe once again, daring to cast a backward glance at his whole career by mixing a few familiar compositions of the quartet with a scattering of older themes from other projects. This leads to further exploration of the orchestral possibilities of a decidedly unusual instrumentation whose origins lie in an extremely up-to-date kind of cross-cultural chamber music. Within this hugely expansive space, Anouar Brahem and his fellowmusicians
create a softly refined, graceful and dream-like world, borrowed as much
from the contemplative oriental tradition as from jazz. The resulting music, rigorously demanding and poetic, moves constantly between modesty and sensuality, nostalgia and contemplation: it is a magnificently intimate spiritual journey to the heart of sound.
The Astounding Eyes of Rita
Album September 2009, ECM
2019 marks the tenth anniversary of the album. And the interest of the audience is still there, as if it was the first year.
With :
Anouar Brahem: oud
Klaus Gesing: bass clarinet
Björn Meyer: bass
Khaled Yassine: darbouka, bendir
A delightful new assembled by Tunisian oud master Anouar Brahem.
The combination of the bass clarinet with the oud suggests a link to Anouar's Thimar trio, but this East/West line-up often feels closer to the more traditionally-inclined sounds of Barzakh or Conte de l'Incroyable Amour. Klaus Gesing, from Norma Winstone's Trio, and Björn Meyer, from Nik Bärtsch's Ronin, are both players with an affinity for musical sources beyond jazz, and they interact persuasively inside Brahem's music.
A dance of dark, warm sounds, urged onward by the darbouka and frame drum of Lebanese percussionist Khaled Yassine. The album is dedicated to the memory of Palestinian poet Mahmoud Darwish.
Souvenance
Music for oud
Album January 2015, ECM
This project is performed in 2 formations:
- the quartet
with Anouar Brahem (oud), François Couturier (piano), Klaus Gesing (bass clarinet ), Björn Meyer (bass)
- the quartet plus a string orchestra of 20 musicians
Probably Anouar Brahem has never gone so far into the balance between formal elegance and freedom of expression, lyricism and restraint, sensuality and asceticism, as he does here with this new repertoire which seems to ideally synthesize almost fifteen years of his personal and aesthetic quest for an authentic "common understanding" between Orient and Occident. Leading a brand-new Quartet, Brahem here revisits every facet of a musical universe that is at once melancholy and introspective in integrating his sensibilities and instrumental language—undeniably anchored in the Arab tradition—with the Impressionist, evanescent piano of colourist François Couturier, the pulsing sensuality of Björn Meyer's electric bass, and the misty, dreamlike, Nordic romanticism from the bass clarinet of Klaus Gesing.
As if to further emphasize the hybrid nature of his universe, here Brahem plunges his quartet for the first time into the sound-fabric of arrangements that are both sumptuous and minimalist, orchestrating a string-ensemble where the soloists (beginning with the melodic enchantments of the oud) are presented in an organic, voluptuous setting which is particularly stimulating. With ever more refinement in its melodic lines and at once contemplative and subtly narrative in its developments, the music contained in Souvenance possesses those qualities of self-evidence, naturalness and simplicity which are the hallmarks of works of genuine inspiration.
Other show already toured :
Blue Maqam
Album October 2017, ECM
Anouar Brahem: oud
Dave Holland: doublebass
Jack DeJohnette: drums
Django Bates: piano
Prestigious European tours in April 2018 and March 2019 :
Uppsala, Konsert & Kongress (Sweden) | Berlin, Boulez Saal (Germany) | London, Barbican (England) | Dublin, The National Concert Hall (Ireland) | Lyon, Auditorium (France) | Anvers, De Roma (Belgium) | Luxembourg, Philharmonic (Luxembourg) | Morges, Théâtre de Beausobre (Switzerland) | Köln, Kölner Philharmonic (Germany) | Paris, Paris Philharmonic (France) | Blagnac, Odyssud (France) | Zurich, Tonhalle (Germany) | Basel, Musical Theater (Switzerland) | Munich, Philharmoni (Germany) | Hamburg, Elbphilharmonic (Germany) | Lisbon, Gulbenkian Música (Portugal) | Brussels, Palais des Beaux-Arts (Belgium)
Biography
For almost forty years, Anouar Brahem, Tunisian composer and oud master, has been creating music both rooted in a highly sophisticated but ancestral culture and eminently contemporary in its global ambition. Anouar appears in many cross-cultural encounters, as well as developing entirely new links and similarities between styles and worlds whose potential closeness had never been considered until he discovered them. For him it was (and still is) a matter of highlighting the age-old Arab tradition of learned music, represented in its finesse by his oud, not only by confronting his instrument with modern jazz, but also with the sophisticated harmonies of the erudite compositional tradition of the West and refined forms from other ancient cultural traditions from the Orient.
His 11 albums on ECM, label acclaimed by the public and international critics alike (including Astrakan Café, Thimar, Le Pas du Chat Noir, Blue Maqams etc.), together with the triumphant success of his haunting music in concerts held in prestigious halls throughout the world, and his fellow-musicians including a remarkable selection of famous jazzmen such as Jan Gabarek, Dave Holland and jack DeJohnette are sufficient evidence to confirm Anouar's place as one of the most fascinating and inspirational artists in the current world of instrumental music.
His sensitive yet rigorous music constantly redefines a cleverly composite universe of poetry and culture, ever balancing between discretion and sensuality, nostalgia and contemplation.
Awards
De Klara's Classical Music Awards: "Best International CD - World" for Blue Maqams (Belgium, 2018)
Echo Jazz Award: "Best International Musician of the Year" for The Astounding Eyes of Rita (Germany, 2010)
Edison Award for Le Voyage de Sahar (The Netherlands, 2006)
Preis der Deutschen Schallplattenkritik (German Record Critics' Award) for Thimar (Germany, 1998)
National Music Award (Tunisia, 1985)
Reviews
The album is at once an extension and an audacious departure from the tradition of the oud. Despite his formidable knowledge of the maqarnat, an ornate system of modes that anchors Arabic music, he seldom bases his improvisations directly on the maqams. His phrasing is pure and uncluttered, expressing itself through silence nearly as often as sound. ... Composed of elegantly flowing lines and somber, breathlike silences, the music shimmers with the overtones of the piano. ... Mr. Brahem bases several of the tunes on spare, broken chords, repeated in the childlike manner of Satie. Simple though they are, however, they contain beguiling Arabesques. The three musicians rarely appear at once, performing as a trio on only seven of the album's 12 tracks. For the most part, you hear duets - piano and oud, oud and accordion, accordion and oud. The musicians often double each other's lines, but seldom in unison, which enhances the music's intimacy while producing a floating, echo effect.If every band projects "an image of coummunity," as the critic Greil Marcus once suggested, then Mr. Brahem's trio - part takht, part jazz trio, part chamber ensemble - evokes a kind of 21st century Andalusia, in which European and Arab sensibilities have merged so profoundly that the borders between them have dissolved. The image may be utopian, but its beauty is undeniable.
Adam Shatz, The New York Times
Throughout the record, the musicians maintain an exquisite balance and make only subtle changes in tempo or tone. Their sense of melancholy is so natural and comfortable it's childlike. On this tune, "Leila and the Land of the Carousel" a waltzing rhythm and revolving melody suggest a girl on that classic joyride...When he quit the oud for a while and played the piano instead, Anouar Brahem recovered his powers of musical myth-making. On this record, he creates a fairy tale setting and ultimately a storybook ending. The accordion lays down sustained chords like lengthening shadows in a forest. The piano conjures low-key sunlight and offers overtones of reconciliation. And in the arabesque path of "The Black Cat's Footsteps," Brahem finds a way back home to his beloved oud and to the songbird inside.
"All things considered", USA - National Public Radio